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ÉQUILIBRE ACIDO-BASIQUE = BONNE SANTÉ

 

Peut-être avez-vous déjà entendu parler d’équilibre acido-basique ? C’est une notion essentielle au maintien d’un état de santé optimale et en grande partie liée à la qualité de votre alimentation, en particulier pour prévenir l’ostéoporose, les troubles ostéo-tendineux, les inflammations et la fatigue chronique. Un excès d’acidité tissulaire durable oblige en effet l’organisme à puiser dans ses réserves alcalines, notamment osseuses. Lorsqu’il perdure, un tel mécanisme favorise donc la déminéralisation, voire l’ostéoporose et la perte de minéraux essentiels (Calcium, Magnésium, Potassium). Plusieurs facteurs peuvent être à l’origine d’un excès d’acidité tissulaire, à commencer par vos choix alimentaires. Une alimentation riche en sel de table, aliments salés (pains, fromages, charcuterie et surtout plats industriels), sodas, protéines animales et à l’inverse pauvre en fruits et légumes contenant naturellement des sels alcalinisants pour l’organisme, est synonyme de déséquilibre de la balance acido-basique. Une telle alimentation s’éloigne fortement de celle de nos ancêtres chasseurs-cueilleurs il y a plus de 10 000 ans alors que notre capital génétique a lui, très peu évolué (moins de 0,01%).
Dans l’optique de retrouver une alimentation respectueuse de notre organisme, il est donc urgent, non pas de redevenir chasseur-cueilleur bien entendu, mais simplement de redonner une place de choix aux aliments, brut et non transformés dans vos assiettes.
L’équilibre acido-basique est une notion fondamentale qui fait partie de l’hygiène de vie quotidienne. L’indice PRAL de chaque aliment, utilisé dans les régimes acido-basique est l’abréviation de Potential Renal Acid Load, ce qui signifie en français « charge rénale acide potentielle ». Il a été mis au point par le Dr Thomas Remer, spécialiste de l’équilibre acide-base à l’Institut de recherche pour la nutrition des enfants à Dortmund en Allemagne.
Cet indice, qui s’exprime en milliéquivalents (mEq), évalue la charge acide (ou alcaline) générée dans l’organisme par 100 g d’aliment. Il résulte d’un calcul un peu compliqué qui tient compte des quantités de minéraux alcalinisants d’un côté et des quantités de minéraux acidifiants et de protéines de l’autre.

Il permet de quantifier l’influence de 100 g d’un aliment sur l’équilibre acide-base. Tous les aliments dont le chiffre est supérieur à 0 sont acidifiants. Plus le chiffre grimpe, plus l’aliment est acidifiant.Un rappel les protéines animales sont acidifiantes ainsi que les féculents à l’exception de la pomme de terre -9.13, de la châtaigne -8.99, et les haricots secs -1.36.

L’extrême importance de la « dynamique acide-base »

Le fonctionnement du corps humain est passionnant. Une des principales règles en matière de biologie est la notion d’homéostasie : la nature tend toujours à revenir à son équilibre. Et l’équilibre acido-basique n’échappe pas à cette règle.
L’importance de cet équilibre est malheureusement souvent sous-estimée alors que sa perturbation peut être à l’origine de nombreux maux de notre société moderne : fatigue, déminéralisation voire ostéoporose, troubles tendineux, etc. Pourquoi moderne ? Tout simplement parce que notre mode de vie actuel, et surtout nos choix alimentaires, tendent fortement à favoriser un état excessif et durable d’acidité tissulaire. Et s’il existe un paramètre sur lequel nous pouvons agir pour optimiser notre santé, c’est bien l’équilibre acido-basique. Intéressons-nous donc aux mécanismes de cet équilibre, aux facteurs pouvant le perturber et surtout, aux solutions permettant de le rééquilibrer.

Tout le monde connaît la sensation, le goût « piquant », de l’acidité, et celui âcre et fade des produits alcalins. Tout milieu, quel qu’il soit, se situe quelque part sur une échelle acidité / alcalinité,et les tissus de notre organisme n’échappent pas à cette règle.
Le seul problème, c’est que notre corps, programmé pour vivre dans un parfait équilibre, ne tolère que de très petits écarts en amont ou en aval de cet équilibre, et que tout écart important peut provoquer de graves troubles de la santé Le degré d’acidité ou d’alcalinité d’une substance se mesure en PH (potentiel hydrogène). L’échelle de mesure va de 0 (totalement acide) à 14 (totalement basique). Un PH à 7 est neutre. Les extrêmes limites du PH de notre organisme sont comprises entre 5 et 9.

Le pH du sang doit impérativement rester  entre 7,32 et 7,42. En dehors de ces limites, il n’y a pas de vie possible, toute variation vers le haut ou vers le bas aura des conséquences dramatiques.

Le pH urinaire d’une personne correctement nourrie et en bonne santé va se situer entre 6,5 et 7,5. 
Le pH de la peau est de 5,2.
La digestion se fait également dans un pH particulier, suivant l’aliment ingéré, ce qui rend si important le choix des associations alimentaires,
et l’ordre de consommation des divers aliments.

Dans notre civilisation moderne,  la tendance à l’acidification est générale. La malnutrition (mauvaise qualité des aliments et mauvaises habitudes alimentaires), la suralimentation, le stress, les pensées négatives, l’agressivité et les excès de toutes sortes favorisent cette acidification de l’organisme. L’hyperacidité de l’organisme est l’une des causes principales de la plupart des maladies métaboliques !

Un excès d’acidification du sang étant totalement impossible, notre organisme dispose de« systèmes tampons »

Heureusement, l’organisme dispose de moyens efficaces qui lui permettent de maintenir le pH du sang à sa valeur obligatoire, et pour cela, il va être obligé de puiser dans ses précieuses réserves tissulaires pour y prendre les produits alcalinisants dont il a besoin. Lorsque le niveau de calcium dans le sang diminue de seulement 3% au-dessous du pH idéal, le corps puise dans les substances minérales alcalines présentes dans les réserves : os, cartilages, dents, etc… On comprend donc qu’après des années d’excès d’acidité, la déminéralisation s’installe, et que l’arthrose, l’ostéoporose ou des caries dentaires se manifestent, troubles étroitement liés à l’acidification de l’organisme nommé « acidose » laissant aussi la porte ouverte aux maladies chroniques modernes.

 

Un excès d’acides entraîne toujours une déminéralisation !

En rétablissant l’équilibre « acide-base », on peut freiner la progression d’une arthrose ou d’une ostéoporose.Pour régénérer un os ou un cartilage déminéralisé, il est indispensable de rétablir l’équilibre acido-basique, sinon la déminéralisation va continuer. Pour obtenir un résultat satisfaisant, une bonne hygiène alimentaire et hygiène de vie sont nécessaires, ce qui veut dire que chacun doit personnellement prendre conscience de la nécessité absolue d’améliorer sa nourriture et de son mode de vie afin de reprendre la responsabilité de sa santé en main.

Lutter contre un excès d’acidification de notre organisme devrait être au tout premier plan de toutes  nos préoccupations de santé.En testant votre pH urinaire, vous pouvez facilement déterminer si votre corps cherche à se défaire d’un trop plein d’acides. En règle générale, vous trouverez un pH plus acide le matin (deuxième urine après le lever, fréquemment de l’ordre de 5,5 à 6,5), puis une valeur d’environ 6,5 à 7 à midi,pour terminer entre 7 et 7,5 le soir. Cela veut dire que la nuit, votre organisme élimine l’excès d’acidité accumulé pendant la journée. Mais ce qui doit surtout être pris en compte, c’est le pH des liquides intra et extra cellulaires, et des tissus de l’organisme. Hors analyses, ce contrôle peut être effectué par test énergétique.

Quelques effets de l’excès d’acidité de l’organisme :

La liste des maux causés par un excès d’acidité chronique est interminable :
  • crises de gouttes, rhumatismes, arthrite, polyarthrite, arthrose, ostéoporose….
  • aphtes sur les lèvres et dans la bouche, fissures au coin des lèvres
  • renvois acides (régurgitations), brûlures d’estomac, ulcères,
  • calculs rénaux et vésicaux, – problèmes de peau (boutons, eczéma, herpès), varices
  • rhumes, sinusites, otites, bronchites chroniques – maux de tête et migraines
  • douleurs sciatiques
  • sensation de brûlure ou de démangeaisons de l’anus
  • crampes musculaires
  • une baisse du système immunitaire
  • de la fatigue, un manque constant d’énergie
  • de la frilosité, de la dépression
  • une sensation de membres lourds
  • de la nervosité, de l’irritabilité, etc…

 

L’organisme peut s’acidifier de différentes manières :

  • Par notre mode de vie : pensées négatives, colère, violence, stress, surmenage, manque de sommeil, fatigue, mauvaise oxygénation des cellules, manque de mouvement, etc…
  • par la surconsommation d’aliments acides et/ou acidifiants.
  • par un manque d’aliments alcalins.
  • par les excès alimentaires en général.

Lors de la digestion des protéines d’origine animale, celles-ci sont transformées en acide urique, phosphorique, sulfurique, etc… qui, par la suite, seront éliminés par les reins. Lors d’une surconsommation de ces protéines, le corps n’arrive plus à suivre le travail  d’élimination des acides.Suite à une surcharge et une incapacité de neutralisation, ceux-ci seront stockés dans divers endroits de notre organisme : tissu conjonctif, articulations, muscles… avec pour résultat  un encrassement lent mais sûr de notre corps.

Toute nourriture de mauvaise qualité ou consommée en excès produira un bon nombre d’acides, avec le même résultat.C’est simplement une question de temps jusqu’à ce que les premiers symptômes de rhumatismes ou d’autres maladies apparaissent.
La digestion se fait également dans un pH particulier suivant les aliments ingérés. C’est la seule, mais très importante raison des « associations alimentaires ».

  • La digestion commence dans la bouche, avec la salive : pH neutre 7 à 8.
  • La digestion des féculents et hydrates de carbone se fait en milieu basique (pH 7 à 9),
  • celle des protéines dans un milieu très acide (2 à 4).
On voit donc que l’association hydrates de carbone / protéine (pâtes / viande) n’est pas idéale.
Le lait et les fromages sont très acidifiants et très incompatibles avec le pain.
Citron, vinaigre, tomate et vin sont incompatibles avec les féculents mais compatibles avec les protéines…
La consommation quotidienne de viande est un excès regrettable, favorable au dépôt d’acide urique dans les articulations.
Un cocktail quotidien de viande + produits laitiers devient explosif au fil des années.
Les fruits, aliments essentiels, peuvent devenir dangereux consommés en mauvaise association.
Ils doivent toujours être consommés loin des repas, JAMAIS pendant un repas, ni en fin de repas (totalement incompatible).
Une association très répandue mais particulièrement désastreuse pour les enfants chez qui elle provoque des désordres ORL importants (otites, rhinites, bronchites, bronchiolites, angines) :
  • un repas de féculents (riz ou purée par exemple) et un yaourt sucré en dessert.

Le mélange féculent / yaourt est incompatible, et le mélange féculent / sucre est également incompatible. Cela donne une double incompatibilité majeure, et des problèmes ORL fréquents .

 

Comment savoir si vous souffrez d’un excès chronique d’acidité ?

La première idée serait de vouloir mesurer le pH sanguin. Mieux vaut vous abstenir si vous n’êtes pas dans une situation d’urgence vitale pour deux raisons. D’une part et surtout car, comme nous l’avons évoqué, l’organisme mobilise tous les moyens pour maintenir le pH sanguin relativement stable : une mesure satisfaisante de ce dernier ne permettrait alors pas d’exclure un excès d’acidité chronique au niveau tissulaire. D’autre part car la mesure du pH sanguin est généralement réalisée à partir de la ponction de l’artère radiale au niveau du poignet. Pas des plus simples à réaliser chez soi (ce que je ne vous conseille pas bien entendu !).
La seconde possibilité serait de mesurer le pH urinaire à l’aide de bandelettes ou de manière plus précise l’Excrétion Nette d’Acide (ENA). Cette approche demeure malheureusement approximative, le pH urinaire étant dépendant de nombreux facteurs, dont la nature des aliments consommés et les interactions chimiques produites entre les différents aliments. Un pH acide ne sera donc pas obligatoirement synonyme d’acidité tissulaire chronique, le pH urinaire étant naturellement acide, aux alentours de 6. La mesure du pH des secondes urines de la journée (les premières étant naturellement plus acides) et une heure après pourra néanmoins représenter une indication utile dans le cas d’un blocage éventuel des systèmes de régulation de l’équilibre acido-basique ou du fonctionnement rénal.
La troisième possibilité est d’identifier et d’analyser les choix alimentaires ainsi que les éventuels troubles fonctionnels associés à un excès d’ acidité chronique comme rappelé plus haut. Le conseil d’un expert en Micronutrition s’avère dans ce cas indispensable : une perturbation de l’équilibre acido-basique se caractérisant en effet par la manifestation de troubles fonctionnels non spécifiques tels que la perte de vitalité, les troubles ostéo-tendineux, les inflammations chroniques, les déficits en minéraux et l’apparition de calculs rénaux. Même si cette approche demeure fondée sur l’analyse des symptômes consécutifs à un état d’acidité chronique et à l’anamnèse alimentaire, c’est aujourd’hui la solution la plus adaptée et surtout la plus pratique.

 

Comment rétablir l’équilibre acido-basique ?

  • en diminuant l’apport d’aliments acides ou acidifiants.
  • en augmentant la consommation des aliments crus, tout en respectant sa propre capacité métabolique à l’égard des crudités.
  • en augmentant l’apport d’aliments alcalins.
  • en mangeant lentement, consciemment, dans le calme et en mâchant bien les aliments (ceci les rend plus alcalins).
  • en améliorant la qualité de vie par une recherche sur le sens de l’existence et celui de la maladie.
  • par des exercices de respiration, promenade dans la forêt ou en montagne.
  • par d’autres activités sportives et harmonieuses.
  • par l’apport d’un remède alcalinisant naturel (en cas de nécessité).
  • en suivant une cure de désintoxication une, deux ou plusieurs fois par année pour régénérer le corps et l’esprit.

Mais la première des choses à faire, est d’établir ses menus sur la base acido-basique 20% d’aliments acides et 80 %d’aliments basiques et d’être très sérieux dans la continuité. Aidez-vous du schéma ci-dessus. Préférez consommer une eau alcalinisante avec un PH ente 7.5 et 8. vous remarquerez tout de suite la douceur de l’eau.  Associez les bons aliments (schéma ci-dessous). Vous trouverez de nombreux livres sur le régime acido-basique mes préférences dans « Mes lectures » sur la page d’accueil.

Dans les cas d’acidité très prononcée, il peut être nécessaire de prendre certains produits naturels (plantes, minéraux) alcalinisants. Soyez très prudents avec les médicaments généralement prescrits pour lutter contre l’acidité, ils présentent en général une toxicité importante (métaux lourds).

On en revient toujours au principe de base, il n’existe pas de produit miracle pour rétablir un équilibre que vous avez détruit par vos mauvaises habitudes (alimentaires et de style de vie), mais une prise de conscience et une action sur le long terme.

L’oxygénation, la marche au grand air, l’exercice physique, les séjours en altitude, toute activité qui favorise le métabolisme en général et accélère le rythme respiratoire permet d’augmenter l’élimination des acides faibles et contribue ainsi à une désacidification de l’organisme.
Une journée au grand air provoque une acidification des urines, qui provient d’une part de l’augmentation du métabolisme musculaire, producteur d’acide lactique, et d’autre part de l’augmentation générale du métabolisme de base. L’oxygénation oxyde de nombreux acides tissulaires et permet de les éliminer par les reins.

Attention à la cure de citron, c’est un excellent moyen de corriger une acidose chronique pour un organisme sain, mais elle ne sera pas favorable et aura même l’effet inverse (déminéralisation) chez une personne ayant un métabolisme lent ou faible.

Combien de temps faudra-t-il pour désacidifier l’organisme ?

Il est difficile de répondre à cette question car tout dépend du terrain. Pour une personne ayant une grande accumulation d’acides, il faudra certainement plusieurs mois, à condition que la nourriture consommée soit parfaitement choisie, et que le mode de vie soit équilibré. La prise de certains produits naturels alcalinisant peut considérablement accélérer le processus, et les résultats sur le bien-être et l’amélioration de la santé seront très rapidement sensibles.Encore une fois, attention aux « médicaments » (chimiques) proposés pour corriger l’acidification :
Aucun de ces produits n’est sans effets secondaires important, ils présentent tous une forte présence de métaux lourds toxiques, et donc toujours des conséquences néfastes pour la santé globale.

LISTE NON EXHAUSTIVE DES ALIMENTS ALCALINISANTS (BASIQUES) ET ACIDIFIANTS

Tableau des aliments acides et alcalins
Item Alcalinisant Acidifiant
Abricot
Agneau
Ail
Alcool
Algues marines
Amandes
Amarante
Ananas
Ananas (Jus)
Antibiotiques
Antihistaminiques
Arachide
Aspartame
Asperge
Aubergine
Avocat
Avoine
Banane
Benzoate
Bette à carde
Betterave
Beurre
Bière
Blé
Bleuet
Brocoli
Bœuf
Cacao
Café
Café (Kona)
Calmar
Canard sauvage
Canneberge
Cannelle
Cantaloup
Cari
Carotte
Caroube
Caséine
Céleri
Cerise
Champignon
Chou
Chou-fleur
Choux de Bruxelles
Ciboulette
Citron
Citrouille
Concombre
Confiture
Courge
Courgette
Crème
Crème glacée
Dalkon
Datte
Dinde
Eau minérale
Endive
Épeautre
Épinard
Faisan
Figue
Fraise
Framboise
Fromage (Processed)
Fromage âgé
Fromage cottage
Fromage de chèvre
Fromage de soya
Fromages (Nouveaux)
Fruits de mer
Fruits séchés
Gélatine
Gelées
Gingembre (Racine)
Gombo (Okra)
Goyave
Graine de citrouille
Graine de lin
Graine de pavot
Graine de sésame
Graines (La plupart)
Grenade
Haricot (Dolique à œil noir)
Haricot aduki
Haricot blanc
Haricot de Lima
Haricot jaune
Haricot mungo
Haricot pinto
Haricot rouge
Haricot vert
Herbes (La plupart)
Homard
Huile d’amande
Huile d’avocat
Huile d’olive
Huile d’onagre
Huile de canola
Huile de carthame
Huile de châtaigne
Huile de coco
Huile de foie de morue
Huile de graines de citrouille
Huile de graines de raisin
Huile de sésame
Huile de tournesol
Huile hydrogénée
Jus d’ananas
Kamut
Lait d’amande
Lait de chèvre
Lait de riz
Lait de soya
Lait de vache
Laitue
Lentilles
Levure
Lime
Lin (Graines)
Maïs
Mangue
Marron
Mélasse
Melon d’eau
Melon de miel
Mets frits
Miel
Millet
Miso
Moule
Moutarde verte
MSG
Mûre
Navet
Nectarine
Noisette
Noix
Noix de cajou
Noix de coco
Noix de pin
Noix du Brésil
Oie
Oignon
Olive
Orange
Orge
Orge (Gruau)
Pacane
Pamplemousse
Panais
Papaye
Patate
Patate douce
Pavot (Graine)
Pêche
Persil
Pistache
Poire
Pois cassé
Pois chiche
Pois mange-tout
Pois vert
Poisson
Poivre
Pomme
Pomme de terre
Pomme de terre douce
Porc
Poulet
Protéine de lait
Prune
Prune Umeboshi
Pruneau
Pudding
Quinos
Racine de lotus
Raisin
Raisin sec
Rhubarbe
Riz (Lait)
Riz (Sirop)
Riz (Vinaigre)
Riz blanc
Riz brun
Riz japonais
Riz sauvage
Rutabaga
Saccharine
Saindoux
Saké
Sanglier
Sarrasin
Seigle
Seitan
Sel de mer
Sel de table
Sésame (Graines)
Sirop d’érable
Sirop de riz
Soda à pâte
Son
Soya
Soya (Sauce)
Stevia
Sucre
Sulfite
Tangerine
Tapioca
Tef
Tempeh
Thé au gingembre
Thé noir
Thé vert
Tofu
Tomate
Vanille
Veau
Vinaigre balsamique
Vinaigre blanc
Vinaigre de cidre de pomme
Vinaigre de riz
Yogourt
Œuf
Œuf de caille
Source: Dr. Russell Jaffe (traduction libre)

 

 

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